Quel mot plus juste que la fulgurance à la découverte de cette chorégraphie du Guadeloupéen Léo LERUS, ayant puisé aux racines du Gwoka né au temps de l’esclavage ? Ce qui se dit, se joue et se raconte en ce petit carré scénique témoigne de la puissance d’une parole artistique commune qui nous a tellement manquée.